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29 mai 2014 4 29 /05 /mai /2014 10:32
Ne jamais abandonner : l'histoire vraie du chat Noiraud

A l’arrière de notre maison familiale en Bretagne, juste à côté de la cuisine et de la véranda, se trouve un puits. Un jour, nous avons remarqué qu’un chat noir était couché sur ce puits et qu’il nous observait lorsque nous prenions nos repas dans la cuisine.

Jour après jour, quel que soit le temps, ce chat noir se trouvait là, toujours sur le puits comme s’il attendait qu’on veuille bien l’accueillir. Pourtant, il ne demandait rien : aucun miaulement, aucune tentative pour entrer dans la maison.. Seulement il était là et nous regardait.

A cette époque, bien que nous aimions beaucoup les animaux domestiques, nous n’avions aucune intention d’adopter un chat. Les choses restèrent donc ainsi un certain temps : le chat couché sur le puits et nous installés dans la cuisine lors des repas.

Et puis, un jour, quelqu’un a dit que ce ne devait pas être très agréable pour le chat de dormir sur la plaque en bois qui recouvrait le puits et qu’on pourrait peut être lui mettre un tissu ou un vieux vêtement pour qu’il soit plus à l’aise. Ainsi on installa un morceau de tissu rouge assez épais… et immédiatement le chat noir alla se coucher dessus. Sa tranquille détermination commençait à porter ses fruits: on s’intéressait enfin à lui !

Pourtant il resta encore un certain temps sur le puits à l’arrière de la maison… Et puis, un jour, on commença à mettre un peu de nourriture pour lui sur le puits… et de plus en plus souvent…

Alors que les jours plus froids commençaient à s’installer, le chat noir fut autorisé à dormir dans la véranda… mais uniquement dans la véranda !

Au fil du temps, il put profiter de toute la maison. Sa nourriture quotidienne lui était assurée. Il portait dorénavant le nom de « Noiraud » et était devenu le chat préféré de toute la famille.

Le chat Noiraud n’est plus tout jeune. Quand on le caresse, on sent ses os car, bien qu’il mange plus de trois à quatre fois par jour, il a toujours bien du mal à grossir. On prend bien soin de lui, et lorsqu’il présente quelques faiblesses de santé, on lui achète du steack haché… Comment pourrait-on vivre maintenant sans le chat Noiraud ?

Cette histoire vraie porte en elle quelques vérités que nous pourrions méditer :

  • la patience et la détermination portent toujours leurs fruits
  • avoir un objectif ou un rêve et, chaque jour qui passe, montrer qu’on est toujours là et faire un pas de plus vers ce rêve

* ne jamais abandonner.. car tout est possible et tout peut arriver si on le souhaite vraiment ! L’histoire du chat noiraud est là pour le prouver ...!

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25 décembre 2013 3 25 /12 /décembre /2013 15:54

Lors d’un évènement récent, la question suivante a été posée à Sa Sainteté Karmapa Trinley Thaye Dorje :

« Cher Karmapa, quelle est la meilleure pratique pour travailler avec la parole ? Comment en faire une parole du Bouddha ? »

Réponse de Sa Sainteté :

« J’apprécie cette question car elle est tout à fait simple et va droit au but.

Je pense qu’une réponse simple serait que toutes les paroles émanant d’un bon cœur (dans le sens de « sans émotion »), contribueraient à se rapprocher de la parole du Bouddha.

« Si quelqu’un est un peu perturbé et secoué émotionnellement, alors la parole exprimée peut refléter des perturbations internes et cela peut créer de la confusion dans un « bon cœur ». Un bon cœur s’exprime non à travers les émotions, mais à travers une conscience claire. Quand la conscience est claire, le cœur est bon. Des paroles et des activités bénéfiques s’ensuivent. Quand la conscience est claire, la parole devient comme la parole du Bouddha.

« Je crois que la raison pour laquelle nous parlons de « discours du Bouddha » est simplement parce qu’il n’est pas programmé et est sans ordre du jour. Nous pouvons voir cela avec les premiers sutras que nous avons. Les premiers mots et enseignements du Bouddha reflètent cela. C’est de la générosité pure, du partage authentique, la manière ultime de partager.

« Il y a un dicton qui dit qu’ « aimer, c’est partager ». Dans ce cas, les enseignements du Bouddha en sont le parfait exemple. L’authentique partage du Bouddha est un reflet de l’amour illimité.

« Quelles sont les qualités du discours du Bouddha ? Il a mené à la perfection, non seulement sa parole mais ses actions et ses pensées au cours de nombreux éons (de nombreuses vies), sans avoir besoin de rien programmer – on peut voir les défauts de n’importe quel programme -, exprimant les qualités positives de la générosité et d’un bon cœur, et puis simplement partageant sa connaissance.

« Prenons un exemple. Je pense que la plupart d’entre vous sont familiers avec les diverses prières de souhaits. Elles sont parfaites, en un sens. Il n’y a pas une seule phrase – en fait, pas un seul mot ou une seule syllabe – qui ne reflète le discours du Bouddha (à moins, bien sûr, que cela ait été mal écrit ou mal interprêté). Tous les sutras et les enseignements du Bouddha sont des exemples du discours du Bouddha. Ils sont parfaits car il n’y a aucun intérêt personnel, aucune programmation et aucune attente de quelque chose en retour. C’est le don pur et le partage authentique.

« Pour revenir aux caractéristiques du discours du Bouddha, il est important de s’interroger sur l’aspect bénéfique de la parole . Parler du temps, par exemple, peut ne pas être particulièrement utile, sauf dans certaines circonstances. Si le discours est bénéfique et utile, alors il est digne d’être considéré, sinon il est préférable de l’abandonner. La compréhension du contexte est importante, c’est-à-dire que certaines choses peuvent être bénéfiques dans certains cas, inutiles dans d’autres et vice versa.

« Il est également important de considérer jusqu’à quel point nous avons le contrôle de nos paroles, pensées et actions. Quel contrôle sur nous-mêmes avons-nous, en tant qu’individus ? Il y a des moments où l’on peut s’engager dans divers discours et sujets, tels que parler du temps, de la peinture, de la cuisine, du sport… cela n’a pas d’importance tant que c’est bénéfique.

« Mais qu’est ce que cela veut dire un discours bénéfique ? D’un point de vue bouddhiste, quand nous utilisons le terme « bénéfique », cela se réfère à deux choses : bénéfique pour cette vie et bénéfique pour la prochaine. La parole bénéfique nous aidera à atteindre la libération, puis à obtenir le « Samyakasambuddaya » (l’état de complet Eveillé).

« Si cela aide une ou plusieurs personnes, nous pouvons nous engager dans un discours apparemment sans grande utilité. Nous pouvons siffloter, fredonner… tant que cela est bénéfique. Peut être que certaines personnes aiment fredonner. Peut être est-ce leur passe-temps ! Peut être est-ce leur passion, la chose qui remplit réellement leur journée. S’ils ne peuvent fredonner ou chantonner un jour, pour eux, c’est un mauvais jour. Ils ne pourront pas dormir correctement et feront des cauchemars. Pour quelqu’un comme cela, il est utile de l’encourager à continuer à fredonner, afin de l’aider à atteindre la libération et l’éveil. Vous fredonnez un peu et vous vous rapprochez, quand vous fredonnez deux fois encore plus, et puis encore un peu plus jusqu’à un point où cela peut même devenir une conversation ! Oui, comprendre le contexte et ce qui est vraiment bénéfique est très important. »

Source : https://www.facebook.com/17th.karmapa

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 09:51
Nelson Mandela : hommage du Karmapa Trinley Thaye Dorje

Lettre de Sa Sainteté Karmapa Trinley Thaye Dorje

New Delhi, le 8 décembre 2013

Chers amis du dharma,

Nelson Mandela a vécu comme un ambassadeur de la paix. Sa présence physique s’en est allée de nos vies, mais son inspiration reste en chacun de nos cœurs. Dans un monde impermanent, nous devons tous partir. Ce qui importe vraiment, ce sont la dignité et la compassion avec lesquelles nous conduisons notre vie. Nelson Mandela a cultivé ses propres valeurs innées, sa richesse intérieure, et il nous laisse un extraordinaire héritage.

La vie est fragile et impermanente. En ces temps de changement, ce sont les Grandes Ames comme Mohandas Gandhi et Nelson Mandela qui nous rappellent que, lorsque nous dédions nos vies au bénéfice des autres, nous trouvons une immense beauté et une immense inpiration tout autour de nous. Nelson Mandela a établi un chemin de patience, d’égalité et de paix. Puissions-nous suivre son exemple et avoir le courage de dédier nos chemins à la paix.

La vie est belle. Puissions-nous nous souvenir et célébrer la vie de Nelson Mandela, comme un exemple brillant pour notre monde.

Puissiez-vous tous offrir vos prières et vos souhaits à Nelson Mandela, afin qu’il trouve la paix pour son voyage et pour la prochaine renaissance.

Avec compassion,

Karmapa Trinley Thaye Dorje

Source : www.facebook.com/17th.karmapa

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 19:52
Les mots de sagesse du Karmapa Trinley Thaye

Les mots de sagesse de Sa Sainteté Karmapa Trinlay Thaye Dorje

du 6 novembre 2013

Traduction en français d'une réponse donnée par Sa Sainteté Karmapa Trinlay Thaye Dorje sur sa page Facebook: https://www.facebook.com/17th.karmapa (en anglais). D'autres traductions en français sont disponibles sur https://www.facebook.com/motsdesagesse17thkarmapa

Merci aux centaines de personnes qui ont posté des questions à Sa Sainteté. Plusieurs de ces questions ont été sélectionnées et présentées à Sa Sainteté à l’occasion d’une rencontre au Karmapa International Buddhist Institute (KIBI) à Delhi.

Sa Sainteté a décidé de répondre à cinq questions, au lieu de trois initialement, et le reste des réponses sera posté dans les prochains jours.

Merci à Amelia Choon pour la troisième question :

  • Trouver l’équilibre : la réalisation de l’impermanence est une part importante pour construire la motivation pour pratiquer. Toutefois, les personnes laïques sont, la plupart du temps, prises par le travail et la famille. Le temps manque pour étudier le dharma, pour la réflexion intérieure et le temps de méditation devient infime. Devrions-nous essayer de limiter le temps passé au travail en prenant un emploi moins exigeant et ne pas se marier – ce qui induit des engagements familiaux – pour ainsi avoir le temps de pratiquer ? Je sens que la pratique est très importante. Mais si nous devons vivre au-delà de notre prochain souffle, « bread and butter » : gagner sa vie, la famille et les amis sont également importants. Les Temps actuels ne nous permettent pas de vivre comme Milarépa et d’être aussi extrêmes pour se nourrir seulement d’orties.

Quel serait votre conseil pour nous, personnes laïques, concernant la façon d’équilibrer la pratique et notre vie dans le monde ?

Réponse de Sa Sainteté Karmapa Trinley Thaye Dorje :

« Tout d’abord, nous devons être conscients de la valeur de la pratique spirituelle. Je pense que la personne qui pose la question le comprend. Pour les autres, afin de décider comment équilibrer de telles choses, et de comprendre les réponses, je pense qu’il est important de connaître la valeur du dharma du Bouddha.

« Connaître la valeur du dharma du Bouddha est profondément connecté à la connaissance de la valeur des autres, ainsi que la relation avec eux. Dans le cas présent, la personne s’interroge à propos de la famille - ce qui est directement lié au dharma du Bouddha. D’une certaine façon, l’idée de séparer le temps pour la famille du temps pour la pratique est un petit peu plus compliqué qu’il n’y paraît à première vue.

« Avant toutes choses, on doit vraiment comprendre la valeur et la signification du dharma du Bouddha. L’étape suivante est de se poser la question : « Que puis-je faire, en fonction de là où je suis maintenant, en fonction de mes propres circonstances et du temps dont je dispose ? » Cette question concerne la gestion du temps. Là encore, nous pouvons nous demander : « Que puis-je gérer ? ». Bien sûr, nous devons regarder cela de manière très réaliste, en fonction de ce qui est gérable, et aussi en fonction de ce qui est utile et de ce qui ne l’est pas. Nous pouvons passer notre temps dans beaucoup de choses qui ne sont pas vraiment nécessaires. Je pense que nous devons alors trouver le courage d’être capables de laisser, petit à petit, ces activités inutiles.

« Elles peuvent varier d’un individu à l’autre. Pour certains, peindre peut être bénéfique. Peut-être est-ce une façon d’être bénéfique à soi-même et aux autres. Pour d’autres, cela est une complète distraction. Par conséquent, nous devons apprécier selon les situations, au cas par cas. Ce qui est demandé est une exploration honnête de ce qui peut être fait, de ce qui peut être géré et de ce qui est nécessaire et bénéfique.

« Aussi, je pense que si nous examinons ces domaines, alors nous sommes capables de remettre en cause l’idée qu’il n’y a pas assez de temps. Vraiment, juste en réfléchissant à ces questions, nous sommes en train de nous donner du temps, nous sommes en train de faire des progrès. Pour le moins, nous développons une profonde compréhension de notre situation.

« Une fois que nous avons examiné ces questions, je pense alors que nous sommes prêts pour la dernière étape. Il s’agit d’organiser notre vie afin de pouvoir faire tout ce qui est utile et bénéfique. Dans ce cas, nous devons prendre le temps de pratiquer. Nous devons prendre du temps pour les autres. Nous devons tout faire et le faire de manière équilibré. C’est difficile de trouver cet équilibre, mais c’est important de planifier de cette façon. Il est aussi important de se souvenir que le dharma du Bouddha concerne tous les aspects de la vie et de nos expériences, ainsi que nos connexions avec les autres.

« Ainsi, de cette façon, chaque moment est également une opportunité pour pratiquer et trouver l’équilibre. »

Voir également l'article "L'Europe et sa richesse : les valeurs des jeunes Européens", publié sur ce blog le 20 septembre 2012, selon les résultats d'un sondage créé par Sa Sainteté Karmapa et des organisations de jeunes en juin 2012.

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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 10:43

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« Vous devez être le changement que vous voulez voir dans ce monde ». Gandhi

 

Le 2 octobre, jour anniversaire du Mahatma Gandhi et journée internationale de la non violence, décrétée par l’ONU depuis 2007, Gandhi nous délivre un message qui est plus que jamais d’actualité.

Il nous dit que nous devons nous-mêmes incarner le changement, pour que celui-ci se manifeste dans le monde. Il n’est pas le seul à le dire. Le Bouddhisme nous enseigne la même chose. C’est en transformant notre esprit, nos émotions que nous aurons un impact positif sur  notre environnement. La physique quantique n’est pas en reste et affirme que notre monde intérieur influe sans cesse sur le monde extérieur. Il n’y a pas ce que nous sommes à l’intérieur avec nos pensées, nos croyances, nos émotions d’une part, et le monde extérieur d’autre part. Ils ne sont pas séparés mais interconnectés. Albert Einstein n’adhérait pas à cette idée, et pensait que nous sommes bien insignifiants dans le fonctionnement de l’Univers. Mais il n’en est rien. D’autres scientifiques, comme le Professeur John Willer, l’ont prouvé.

Lors d’une expérience scientifique à Genève, en Suisse, en 1997, les scientifiques ont scindé une particule en deux, puis les ont éloigné de 22 kms l’une de l’autre. Ils se sont rendus compte que lorsqu’ils agissaient sur la première particule, la seconde réagissait aussi et dans le même sens. Ce phénomène, appelé « Intrication » démontre que deux particules, bien que physiquement éloignées, restent connectées par leur énergie. Si les particules peuvent le faire, nous-mêmes qui sommes constitués de ces mêmes particules, pouvons aussi le faire. La physique quantique nous montre que l’espace n’existe pas, et le bouddhisme nous dit la même chose.

Ce qui se passe à l’intérieur de nous peut transformer notre environnement, d’où l’importance d’avoir les pensées justes et les croyances appropriées. Si nous n’avons que des pensées de peur, quel monde allons-nous créer ? En cette journée internationale de la non violence, le message de paix de Gandhi nous montre tout simplement le chemin.

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22 août 2013 4 22 /08 /août /2013 07:28

"Le meilleur moyen de rendre les autres meilleurs, c'est de le devenir soi-même."

 

Jules Beaulac (homme d'église et écrivain québeccois)3586487445_0e307132af.jpg

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10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 08:50

7027584837_6750e02f17.jpgOn peut parfois penser que les frais de notaires sont élevés et qu'ils sont librement déterminés par ces officiers publics. Il n'en est rien. L'Etat, par voie de décret, réglemente de manière très détaillée les tarifs des notaires. De plus, dans ce que nous appelons "frais notariés", seule une infime partie revient au notaire, le reste étant redistribué vers divers organismes.

 

Des barèmes réglementés

La tarification des notaires est déterminée par le décret 78-262 du 8 mars 1978 qui définit, pour chaque acte juridique, le tarif applicable. Il a ensuite été modifié par les décrets du 16 mai 2006, du 21 mars 2007 et du 17 février 2011. D'une manière générale, les frais de notaires comprennent :

* Les taxes qui sont reversées à l'Etat et aux collectivités territoriales (département, commune). Ce sont principalement les droits d'enregistrement et la TVA.

* Les "débours" : ce sont des sommes que le notaire a dû payer pour le compte du client (Service d'urbanisme, Conservation des hypothèques, Service du Cadastre...).

* La rémunération réelle du notaire qui est environ le dixième de l'ensemble des frais.

Un notaire ne sera rémunéré que lorsque le dossier est terminé. Les sommes versées à titre de provision sont consignées à la Caisse des Dépôts.

La rémunération du notaire : détails

Selon l'acte juridique, la rémunération du notaire sera établie de trois manières différentes : par émoluments fixes, proportionnels ou par honoraires libres.

Emoluments fixes

Ils sont calculés en "unité de valeur" (UV). Depuis février 2011, l'unité de valeur vaut 3,90 euros. Un nombre d'unités de valeur est déterminé pour chaque acte juridique (décret de 1978).

Emoluments proportionnels

Un taux est appliqué au capital figurant dans l'acte. Ce taux est affecté d'un coefficient selon l'acte juridique établi (se référer aux tableaux à la fin du décret de 1978). Ainsi, les barèmes des hypothèques, les frais de succession, le contrat de mariage, entre autres, s'inscrivent dans ce cadre.

Honoraires

L'article 4 du décret de 2006 définit pour certains actes une rémunération libre fixée par le notaire et acceptée par le client. Ceci s'applique aux actes juridiques non répertoriés par le décret de 1978, mais qui restent néanmoins de la compétence du notaire (consultation juridique, vente d'un fonds de commerce...).

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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 09:27

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Vendre un bien immobilier sans problème, avec un acheteur fiable et dans les meilleurs délais est le souhait de tous les propriétaires. Rêve ou réalité ? En mettant toutes les chances de votre côté et en respectant certains paramètres, le rêve pourrait bien devenir réalité.

  Une publicité bien adaptée

Il y a forcément un acheteur quelque part qui recherche la maison ou l'appartement que vous souhaitez vendre. Alors utilisez  tous les vecteurs de ventes immobilières à votre disposition pour que cet "acheteur" ait connaissance de votre bien. Il s'agit des sites web spécialisés dans l'immobilier entre particuliers, les agents immobiliers de votre région, les annonces que vous pourrez insérer dans les journaux sans omettre les journaux gratuits très consultés. Enfin, n'oubliez pas de poser une affiche "A vendre" sur la porte de votre maison.

  Un prix de vente cohérent

Le prix de la maison va être déterminant pour l'acheteur. Fixez-le en fonction du prix d'achat, des travaux effectués et du prix du marché local. Ensuite, vous ajusterez ce montant selon les avis des professionnels immobiliers. Un bien surestimé n'incitera pas les acheteurs potentiels à s'engager et vous fera perdre du temps. Bien souvent, le prix devra être réajusté quelques mois plus tard. Le juste prix d'une maison ou d'un appartement est la première condition pour une vente rapide. Il est également important que le bien soit au même prix dans toutes les agences immobilières : c'est un gage de sérieux.

  La situation géographique du bien

Lors de l'achat d'une maison, regardez toujours si le quartier est suffisamment attractif pour entraîner une plus-value et une vente rapide plus tard. Certains aspects restent néanmoins incontournables. Le marché immobilier à Lyon ou à Lille n'engendrera pas les mêmes effets, la demande étant différente. Et les transactions immobilières concernant les villas en Provence ou les maisons dans le Rhône ne sont pas comparables. Fort heureusement, les goûts et les critères de recherche des acheteurs sont variés. Ainsi, la proximité des écoles et des commerces sera un atout pour certains, alors que d'autres préféreront la tranquillité.

  Les autres atouts du bien

Il faut mettre en avant tous les atouts de la maison ou de l'appartement à vendre. Maintenant la performance énergétique d'un bien n'est pas à négliger dans les ventes immobilières. Un logement bien isolé indique que les travaux sont faits et ne seront plus à faire. Une maison construite ou rénovée avec des matériaux écologiques peut aussi constituer un critère de préférence pour certains acheteurs. Enfin, votre "détermination positive" à vendre le bien rapidement peut aussi favoriser les évènements et donc attirer le bon acheteur. Essayez, cela marche !

 

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5 octobre 2012 5 05 /10 /octobre /2012 09:58

Les diverses lois de défiscalisation font de l'investissement immobilier locatif un des meilleurs placements du moment. Mieux qu'un placement en assurance-vie, la défiscalisation Malraux permet de se constituer un patrimoine immobilier prestigieux, de réduire ses impôts et de percevoir des loyers réguliers. D'une manière générale, la loi dite "Malraux" du 4 août 1962 a l'ambition de favoriser la restauration du patrimoine architectural français.

Investir dans l'ancien à rénover

La défiscalisation Malraux favorise les achats immobiliers anciens à rénover en vue de leur location. Ces biens doivent se situer dans un secteur sauvegardé ou en zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager (ZPPAUP). D'une manière générale, les centres villes historiques sont concernés par le dispositif Malraux.

Ces secteurs et zones particuliers sont définis par arrêtés ministériels ou décrêts en Conseil d'Etat, consultables à la Préfecture de chaque département. L'immeuble doit, après restauration, être destiné à la location à usage d'habitation pendant neuf ans minimum (la durée est passée de six à neuf ans en 2009).

Evolution des conditions d'application

Depuis janvier 2009, la défiscalisation Malraux donne droit à une réduction d'impôt et non plus à une déduction du revenu. Cette réduction d'impôt va s'échelonner sur la durée des travaux, soit entre un et trois ans.

Des réductions d'impôts à la baisse

De 40% en 2010, la réduction d'impôt s'abaisse à 36% en 2011 (loi de finances 2011) pour les travaux de restauration en secteur sauvegardé, avec un plafond de 140 000 euros par an (le plafond était illimité auparavant). Pour les opérations réalisées en ZPPAUP, le taux de réduction est de 27% avec un plafond de 100 000 euros par an.

Locaux et travaux concernés

Les investissements immobiliers concernent principalement les locaux d'habitation ou à nouveau réaffectés à cet usage. Néanmoins les locaux commerciaux (tels les murs d'une boutique), situés au bas de l'immeuble, peuvent aussi entrer dans ce cadre depuis peu.

Des travaux importants

Les travaux doivent aboutir à la restauration complète de l'immeuble. Il s'agira de travaux :

- de démolition,

- de toiture,

- de réfection des murs extérieurs de l'immeuble,

- de réparation et amélioration de l'habitation,

- d'aménagement de combles et greniers en vue de l'habitation,

- de travaux déclarés d'utilité publique

Cumul des divers dispositifs de défiscalisation

La défiscalisation Malraux est cumulable avec d'autres dispositifs. Entre autres, citons la loi Scellier (ayant remplacé le programme Robien) pour l'achat d'immobilier neuf, et la loi Girardin pour les achats de maison dans les DOM-TOM.

Ainsi une défiscalisation à Paris (bien ancien selon la loi Malraux) pourra se cumuler avec une défiscalisation à la Réunion ou à la Martinique (selon Girardin immobilier).

 

 

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4 octobre 2012 4 04 /10 /octobre /2012 13:33

Promotion pour la page "La résiliation de son assurance en toute simplicité" :

Quel que soit le type de contrat d'assurance, les règles de résiliation sont souvent identiques. La lecture du contrat, bien que fastidieuse, est donc importante et utile. Elle vous aidera à anticiper et à gérer au mieux la fin d'un contrat d'assurance.

 

Bien relire son contrat

 

Il vous faut reprendre les conditions générales et les…

Lire la page "La résiliation de son assurance en toute simplicité".

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Jeudi 3 Mai 2012

" L'avenir a plusieurs noms. Pour les faibles, il se nomme l'impossible. Pour les timides, il se nomme l'inconnu. Pour les penseurs et les courageux, il se nomme l'idéal." Victor Hugo

 Mercredi 2 Mai 2012

"Vous devez être le changement que vous voulez voir dans ce monde." Gandhi 

Mardi 1er Mai 2012

" Si nous avons le courage de les poursuivre, tous les rêves deviennent réalité." Walt Disney

 

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Flash infos

 

28 octobre 2011

Albums photos

Un nouvel album est mis en ligne : "Couleurs d'automne"

Un festival de couleurs en Drôme provençale..!

 

21 octobre 2011

Albums photos :

 

Prenez le temps d'admirer les photos des albums "Histoire de chats" et "Belle France", juste pour le plaisir des yeux ! Appréciez nos amis les chats dans différents moments de leur vie et voyez combien la France peut être belle ! Ceci vous est offert gracieusement..

De nouvelles photos ont été rajoutées dans "Histoire de chats".

 

7 octobre 2011

Info juridique :

A compter du 1er octobre 2011, il vous sera demandé 35 euros pour chaque affaire portée devant le Conseil des Prud'hommes (sauf pour les personnes ayant droit à l'aide juridictionnelle) - Décrêt n° 2011-1202 du 28 septembre 2011.

Enjoy !

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